Trouvé sur le site du ministère des Affaires étrangères britanniques, une application google earth qui nous montre comment serait la planète si le réchauffement climatique atteint les +4°C. Le but étant de faire rendre conscience que l’équilibre de la terre est fragile est qu’il est important de veiller à réduire nos émissions de gaz à effet de serre et de limiter nos impacts écologiques pour éviter de futures catastrophes annoncées.
Conséquence qu’une augmentation de 4°C sur le réchauffement climatique
- Disparition du permafrost, les bâtiments construits dessus seront donc en danger.
- Le maïs et les rendements de blé seraient réduits de près de 40% aux basses latitudes. Diminution des rendements de riz de 30 % en Chine, en Inde, au Bangladesh et en Indonésie.
- Le niveau des mers pourrait s’élever jusqu’à 80 cm d’ici la fin du siècle. À plus long terme, 4ºC se traduiraient par une augmentation beaucoup plus élevée du niveau des mers. Les zones les plus touchées seraient les îles tropicales et les régions de faible altitude comme le Bangladesh.
- La moitié de tous les glaciers de l’Himalaya serait réduit de façon significative d’ici à 2050, même à une température moyenne de la planète en dessous de 4ºC. Le bassin du fleuve Indus obtient 70% de son débit d’été de la fonte des glaciers.
- Les écosystèmes marins pourraient être fondamentalement modifiés par l’acidification des océans, ce qui aurait un impact considérable sur la pêche. Cela pourrait causer une perte substantielle de revenus et d’emplois. La perte des habitats des récifs coralliens à cause de l’acidification pourrait sérieusement affecter de nombreuses espèces commerciales de poissons et pourrait s’avérer désastreux pour les communautés côtières.
- Hausse les incendies de forêt qui affecteraient tous les continents habités.
- Les cyclones tropicaux pourraient être plus intenses et destructeurs. L’augmentation de la population mondiale, en particulier dans les zones côtières, et l’élévation du niveau de la mer aura pour conséquence de plus grandes pertes associées.
- Toutes ces hypothèses sont vérifiées par des scientifiques et sur l’application google earth vous avez les liens vers les articles des scientifiques sur les différents sujets.
Merci pour cette trouvaille Karen, évidemment ça fait très peur …
Que constatons-nous à propos des modèles du GIEC? Que leurs projections ne sont pas conformes aux observations, car:
– ils ne prévoient pas la stagnation des températures depuis 2001 (mesures satellitaires);
– ils ne prévoient pas le refroidissement relatif des océans ni la diminution de l’augmentation de niveau des océans (2 à 3mm/an auparavant, et stagnation actuellement).
Source :
http://www.academie-sciences.fr/publications/comptes_rendus/pdf/CRGeoscience_article.pdf Laboratoire d’études en géophysique et océanographie spatiales LEGOS
Observatoire Midi-Pyrénées
18 avenue Édouard Belin
F-31401 Toulouse Cedex 09
Anny.Cazenave legos.obs-mip.fr (Académie des Sciences, Paris)
Site Internet : http://www.legos.obs-mip.fr/fr/equipes/gohs/equipe
– la signature du gaz à effet de serre CO2 (les points chauds), prévue comme une validation forte des modèles du GIEC, n’a jamais pu être observée par les ballons-sondes météo;
– la relation causale supposée entre le CO2 et la température est démentie par l’analyse fine des carottes de glace : durant les 500 000 dernières années, ce n’est jamais le CO2 qui a fait monter les températures, mais l’accroissement des températures qui a été suivie, avec un retard typique de 800 ans, par l’augmentation du taux de CO2.
Nous pouvons donc en conclure que le climat évolue essentiellement en fonction d’autres causes, non encore identifiées, et que les modèles climatiques ne prennent pas ces causes en considération pour la bonne raison qu’ils ne les connaissent pas.
Donc cette simulation Google Earth est du pur et simple lavage de cerveau au service de la cause du carbocentrisme, qui a de plus en plus de plomb dans l’aile… et que les gouvernements, l’ONU, l’UNEP, le Met Office, Météo France, les écolos intégristes et les journaux (+les autres médias) de notre doux pays de France essayent de sauver par tous les moyens… souvent peu fair-play.. comme cette carabistouille de Google Earth.
En principe, le procédures du GIEC devraient mettre dans le rapport AR4 uniquement des informations provenant de sources crédibles, publiées dans les revues à relecture par les pairs. Or, on y trouve des informations provenant de WWF, de Greenpeace, d’un obscur étudiant marocain non publié, …. Est-ce vraiment sérieux?
A mon avis, le pire dans cette affaire , et la cause de ce dogme du RCA (Réchauffement Climatique anthropogénique), est la manière dont le GIEC fonctionne, à l’initiative de L’ONU et de l’UNEP :
-ses objectifs sont fixés par ses statuts, élaborés par l’UNEP, et orientent les travaux sur le RCA
– une fois que le rapport AR4 est rédigé, le résumé pour les politiques (SPM) est élaboré par les dirigeants du GIEC et les gouvernements. Le SPM ne contient plus aucune nuance, plus aucune interrogation et il est publié en premier.
– ensuite, le rapport AR4 est modifié pour être conforme au SPM et il est publié avec 6 mois de retard sur le SPM
Je suis persuadé que des participants aux travaux du GIEC l’ont fait avec une grande conscience professionnelle, et qu’ils sont effarés de voir comment leurs contributions ont été soit oubliées, soit modifiées. Par contre, l’équipe dirigeante du GIEC applique les consignes de l’ONU et de l’UNEP et elle est responsable de cette parodie de science.
Ce processus est absolument non conforme à l’éthique scientifique la plus élémentaire, et le SPM n’a donc aucune crédibilité , car issu d’un mélange de science et de politique.